jeudi 16 décembre 2010
Les lettres au père-noël des IX.C
C'est bientôt Noël! La classe de IX.c s'est prêtée au jeu des lettres au père-noël; nous avons apprécié leur style et leur humour...
Par Errera Nathalie
Les talents de réalisateurs de la classe de X.C
http://youtube.com/watch?v=FdM4Po1PdqA
Par Errera Nathalie.
mardi 14 décembre 2010
La Journée des Élèves
mercredi 17 novembre 2010
Changez de style!
Bonjour tout le monde!
C’est le mois de novembre mais il fait beau! Il faut sourire, rire et tomber amoureux…comme au printemps. Comme toujours, le travail, les études, la famille, les amis, l’amour, les livres…remplissent notre vie, mais nous oublions certaines choses, comme les anniversaires et les nouveautés. Novembre est le dernier mois de l’automne. La fin de l’automne. Donc, les garçons et les filles, allez-y, faites du shopping! En hiver, bien sûr, on porte des vêtements beaucoup plus chauds qu’en automne. Mais pas maintenant. Premièrement, il faut réfléchir un peu. Où sont les soldes ? Où est-ce qu’on peut acheter des vêtements qui sont de bonne qualité mais qui ne sont pas trop chers? Et puis… où est-ce qu’on peut trouver des vêtements qui sont à la mode et qu’on aime? Nous, les expertes, allons vous répondre. Mais il y a une règle: il faut toujours rester calme pendant le shopping pour augmenter l’hormone du bonheur. On ne peut pas faire de shopping nerveusement.
Les grandes stars ont des stylistes pour s’habiller au goût du jour. Mais les gens ordinaires ont moins d’argent et ils n’ont pas de styliste. Nos stylistes sont les magazines, les personnes célèbres, les maisons de couture. La plupart des femmes préfèrent les magazines de mode: Vogue, Glamour, Joy, qui nous aident toujours, dans toutes les situations, dans presque tous les pays. Maintenant, on vous montre ce qu’ils proposent.
Le vêtement principal d’hiver est le manteau. De nos jours, il y en a plusieurs sortes, donc on peut choisir. Le manteau de Paris, qui a un haut col, le manteau de New York, dont on peut rabattre le col et le manteau de Londre qui ressemble à l’uniforme des soldats anglais. Enfin, les fourrures pour les femmes qui aiment beaucoup le chic.
En ce moment le cuir se porte. Les robes en cuir, les pantalons en cuir, les manteaux en cuir, les gants en cuir et bien sûr, les bottes en cuir. Tu es une fille très élégante si tu portes un pantalon en cuir avec un chemisier, une veste ou avec un T-shirt ou un blouson de dentelles. Une règle existe: aies l’air naturel tout en étant chic.
Contre le froid, on porte des gants. Ceux, qui sont très à la mode en ce moment, sont les gants en cuir. Ils peuvent être longs, courts, avec ou sans décorations.
Les bottes, on les porte toutes l’année. Les grandes maisons de couture ont créé les chaussures à lacets à hauts talons. Elles sont audacieuses mais aussi très féminines. Naturellement, les autres types restent à la mode: les bottes longues, courtes (bottines), à hauts talons ou à talons plats.
Mais qu’est-ce qu’on trouve sous le manteau ? De longs pulls tricotés, des T-shirts simples ou décorés, selon le goût. Les couleurs à la mode: le gris, le rouge, la couleur sable, le blanc, le noir. Le nouveau motif dominant est le léopard. Ce n’est plus grossier, c’est très à la mode. Ceux qui te disent que ce n’est pas de bon goût ne connaissent pas la mode. Ce ne sont pas eux qui travaillent chez Dior, Chanel, Dolce Gabbana ou Emporio Armani.
Grâce à ces idées, tu peux trouver ton style et acheter des vêtements avec qui tu peux encombrer les boutiques et les cabines d’essayage. :)
dimanche 31 octobre 2010
Une semaine a Bruxelles
En octobre, j’ai passé une semaine à Bruxelles pour pratiquer le français et vivre une nouvelle expérience.
Un bon conseil aux personnes qui veulent passer une semaine a Bruxelles. D’abord, il faut réserver un logement. Mais ce n’est pas tout: vous devez partir avec le numéro de télephone d’urgence du pays où vous allez, en cas d’accident. J’ai commis une erreur: j’ai réservé le logement à la Maison Hongroise. A 7h du matin quand je suis arrivée le réceptionniste a dit qu’il n’avait pas de chambre libre. Mais c’était très intéressant d’utiliser un ordinateur au Parlement Européen pour trouver une chambre. Enfin, j’ai trouvé mon logement.
Pour pratiquer une langue, la meilleure solution est d’aller à l’étranger avec deux personnes qui ne parlent pas du tout la langue de ce pays. Si vous n’avez jamais fait de réservation par téléphone à l’étranger, essayez!
La ville de Bruxelles est belle. À mon avis ce n’est pas la plus belle ville que j’ai visitée. Il fait toujours gris, il n’y a pas de soleil. C’était un peu déprimant. On y rencontre plusieurs nationalités. Au centre-ville il y a beaucoup de circulation, mais Bruxelles n’est pas une trop grande ville. Il n’y a qu’un million d’habitants. Les manifestations sont fréquentes. Tous les jours on peut voir des groupes qui sont en grève. Un jour il y avait une manifestation de lutte pour pour les droits internationaux. Le transport en commun ne marchait pas. Ce jour là nous avons marché pendant 6 heures. Il y a beaucoup plus de monuments historiques qu’à Budapest. Je vous conseille de goûter la bière belge et le délicieux chocolat.
Par Farkas Ivett, XII.C
samedi 30 octobre 2010
Interview exclusive avec une Saumuroise
Claire a passé 2 semaines inoubliables avec nous. Pendant ces 2 semaines nous avons découvert les principales curiosités de notre région. Nous avons visité la ville de Veszprém. Nous avons admiré le paysage de l'abbaye de Tihany. Nous nous sommes reposées dans le lac de Hévíz. Nous avons fait de la voile sur le lac Balaton et nous sommes allées a la plage pour prendre un bain de soleil. Nous avons mangé de la glace a Balatonfüred et a Balatonalmádi. Nous avons eu la possibilité de faire de petites roses de porcelaine a Herend. Dans le ZOO de Budapest nous avons caressé des chameaux et des girafes. Á la fin du séjour, on a découvert la ville de Budapest.
Comme j'étais tres curieuse des expériences de Claire en ce qui concernait la Hongrie, j'ai fait une petite interview avec elle.
- Claire, pourquoi voulais-tu venir en Hongrie?
Bien sur pour te voir. Et puis, j'avais envie de découvrir un pays étranger.
- Avant ton voyage qu'est-ce que tu savais sur la Hongrie?
Presque rien. Je savais que la capitale de la Hongrie était Budapest. Je connaissais votre plat national, la goulache. Je connaissais le vin de Tokaj. Je savais que la Hongrie était un pays sous l'emprise des soviétiques. Mais je ne connaissais pas du tout le lac Balaton.
- Qu'est-ce que tu penses des Hongrois?
Ils sont tres accueillants et chaleuruex (sauf la caissiere du supermarché SPAR).
- Á ton avis quelles sont les différences les plus grandes entre la France et la Hongrie?
Le climat, l'appétit des Hongrois, les habitudes alimentaires et vestimentaires.
- Comment est-ce que tu trouves la langue hongroise?
Ca a l'air trop compliqué. C'est une belle langue. Ce n'est pas désagréable a entendre.
- Qu'est-ce que tu penses de la cuisine hongroise?
Elle est consistante, elle est faite pour tenir une bonne journée. Il y avait certains plats que j'ai beaucoup aimés par exemple les pates avec des pommes de terre (krumplistészta). Il y avait certains plats que je n'ai pas aimés par exemple le káposztásrétes. En tous cas, la cuisine hongroise est une cuisine appréciable. D'ailleurs, je trouve que les Hongrois mangent beaucoup par rapport aux Francais. On me propose a manger toute la journée. Le petit-déjeuner salé me semble assez bizarre. Je pense que les Hongrois mangent beaucoup de viande et de légumes. Ils utilisent beaucoup d'épices et ils mangent de la soupe presque tous les jours.
- Qu'est-ce que tu as apprécié le plus en Hongrie?
Je trouve que le lac Balaton et le lac de Hévíz sont merveilleux. J'ai beaucoup aimé l'architecture de Budapest.
- Est-ce que vous vous occupez de la Hongrie au lycée?
On ne s'occupe absolument pas de la Hongrie en cours.
- Qu'est-ce que tu penses du francais des lycéens de notre lycée?
Vous parlez étonnement bien francais. J'admire les efforts que vous faites pour acquérir toutes les finesses de cette langue.
- Quels sont les mots hongrois que tu as réussi a retenir?
Igen (oui), nem (non), kössz (merci), köszönöm (merci), szia (salut), sziasztok (salut a tous), Jó napot! (Bonjour!), Viszlát! (Au revoir!), utca (rue), kecske (chevre), cica (chat), tündérrózsa (nymphéa), majom (singe), fóka (phoque), és (et), itt (ici), magyar (hongrois) et szeretlek (je t'aime).
- Est-ce que tu as envie de retourner en Hongrie de nouveau?
IGEN : )
- Qu'est-ce que tu vas raconter sur la Hongrie quand tu retourneras en France?
La Hongrie est un pays exotique et tres beau. Ca vaut le coup d'y aller!
Merci beaucoup Claire pour tes réponses intéressantes. J'espere que la Hongrie a résussi a t'enchanter. A tres bientot!
Par Kinga Somogyi XII.C
mardi 19 octobre 2010
Concours de BD pour groupes non-bilingues
dimanche 17 octobre 2010
BOUE ROUGE
Comme la rivière Torna se trouve juste à côté du réservoir de boue rouge, ce produit toxique est entré aussi dans des fleuves et à cause de l'alcalinité tous les être vivants ont été détruits tout de suite. On a essayé de protéger les rivières contre la pollution alcaline en mettant des matériaux acides dans l'eau. Heureusement on a réussi a défendre la faune des fleuves Raab, Mosoni-Duna et Danube, mais les rivières Torna et Marcal sont mortes. Le 7 octobre, vers midi la boue rouge a atteint Gyôr, à l'embouchure des fleuves Mosoni-Duna et Raab, l'eau a bouillonné, sa couleur a changé et on a même trouvé des poissons morts. Le 15 octobre, sur la partie croate du Danube on a observé qu'il y avait beaucoup plus d'aluminium dans l'eau qu'en général. Cette pollution est probablement la conséquence de la boue toxique, mais selon les autorités ce n'est pas dangereux pour l'environnement.
En plus, sur les territoires inondés on ne peut plus faire d'agriculture sauf si on change complètement le sol sur un territoire de 1000 hectares, mais évidemment ça coûte très cher.
La police s'est occupée des documents qui peuvent certifier que les réservoires de boue rouge n'ont pas été construits et utlisés correctement. Selon la direction du MAL Zrt., cette catastrophe s'est accomplie parce que le coin du réservoire a glissé sur le piédestal argilifère.
dimanche 26 septembre 2010
L'épice la plus chère du monde: LE SAFRAN
Voici une vidéo sur la cultue du safran au Maroc:
http://www.youtube.com/watch?v=t1SoqzKz_Is
Par Papp Antonia XI.C
jeudi 10 juin 2010
3 mois en France, interview exclusive!
Que vous ont apporté ces 3 mois á Saumur?
Kinga: Je suis devenue plus autonome, plus débrouillarde, plus performante en français et plus ouverte aussi.
Timi: Je me sens plus sûre de moi et j'ai appris á mieux connaître mes 3 camarades hongrois.
Őszike: Je suis franchement plus ouverte et plus sociable. J'ai vraiment aimé vivre avec une famille qui a des enfants...vivre en communauté m'a beaucoup plu surtout que je suis fille unique.
Bence: Je suis devenu plus sociable.
Quel souvenir vous a le plus marqué?
Kinga: Ma famille d'accueil était parfaite! Ma classe était la classe idéale...Ces 3 mois m'ont beaucoup aidée. J'ai eu beaucoup d'amis. Au niveau social, j'ai adoré cette vie équilibrée.
Timi: Moi aussi, ma famille d'accueil reste mon meilleur souvenir, J'ai eu une famille très affectueuse.
Őszike: Comme c'était un lycée privé catholique, il y avait donc une communauté catholique. Il y avait un pèlerinage, c'était intéressant de découvrir la façon dont ils pratiquent cette religion. Car nous sommes catholiques aussi mais j'ai trouvé que l'église hongroise était différente de l'église française...Je veux dire que c'est plus joyeux et plus "cool" en France, en Hongrie c'est plus sérieux et traditionnel.
Bence: Mes camarades de classe français m'ont marqué. Cette camaraderie était importante pour moi: non seulement ils étaient très sympas mais en plus je pouvais pratiquer le français...
Quel cours avez-vous préféré au lycée et pourquoi?
Kinga: Les cours de sport. Le base-ball est par exemple moins fatigant qu'ici. Il y avait toujours une bonne ambiance. Le sport m'a aidé progressivement á améliorer mes relations avec la classe. L'Histoire aussi! Le prof était très compétant dans ses explications, c'était intéressant.
Bence: Les cours de littérature. J'ai beaucoup aimé le fait qu'en France, on fasse des analyses de textes, on apprend á réfléchir par soi-même. L'analyse permet la compréhension puis la réflexion. Alors qu'en Hongrie, pour avoir une bonne note, il faut se contenter d'écouter et d'écrire un discours sur un texte et de l'apprendre par coeur. Comme ça, on ne peut pas faire travailler notre esprit critique, construire nos propres opinions et développer notre sensibilité.
Timi: Je suis tout á fait d'accord avec Bence!!!!!
Őszike: J'ai aimé la physique, la chimie et la bio...les expériences...la blouse blanche...C'était bien réparti: pratique/théorie.
Qu'est-ce qui est vraiment différent de le Hongrie?
Kinga: Le système éducatif. Ici en Hongrie, nous devons tout apprendre par coeur! En France, les élèves apprennent á réfléchir par eux-mêmes. Par contre, le niveau d'anglais des élèves français est choquant!
Timi: Il me semble que la vie est plus calme en France...Ici on doit toujours se dépêcher.
Őszike: L'attitude des jeunes. Ils s'habillent comme des adultes, ils veulent paraître plus matures mais ils ne le sont pas!
Bence: Une journée d'école. La répartition des cours, le déjeuner á midi, c'est très différent.
Les mots (ou expressions) français que vous ne connaissiez pas avant et que vous avez souvent entendus ou même utilisés?
Kinga: Oh beaucoup d'expressions familières!!! mais un peu de tout en fait: "être dans les nuages", "être sur des charbons ardents", "fais gaffe"," je te kiffe", "parle á ma main", "genre... "(au lieu de "par exemple"), "c'est d'la boulette!"
Timi: "Oh la vache!". En fait, j'habitais dans une ferme et un jour une vache est sortie et se trouvait devant la porte d'entrée. Et ma maman d'accueil a dit: "oh la vache!"...
Őszike: Moi, j'ai vraiment peur des oiseaux et de tout ce qui vole en général... Grâce á ma maman d'accueil j'ai appris á les toucher et á êre plus proches d'eux, et lá... j'ai appris la différence entre "crotte" et "fiente"...
Bence: "punaise!" une expression familière qui est plus forte que "zut!"
Merci beaucoup á tous les 4! Vous avez été précis, très intéressants et vous vous êtes montrés assez passionnés. En espérant que vous garderez encore longtemps le contact avec Saumur...
Par Errera Nathalie, rédac' chef du blog
jeudi 3 juin 2010
Les perles des élèves
"...je voudrais travailler chez vous car je voudrais chercher le monet du poche..."
"...Je vous pire d'agréer, monsieur, l'excursion de mes sentiments..."
"...je suis ouverte et je communique couramment."
"Monsieur! Je peux garder les enfants tous les soirs. J'aime les petits enfants!"
"...Je m'appelle Petra...Je suis décontracté et travailleur...Je voudrais travailler comme garçon dans votre restaurant."
"...Je vous serais reconnaissante si je travaillais comme livrier dans votre librairie."
"...mon plus haut qualifié est l'école primaire..."
"Je peux aller à Paris pour un interroge quand vous voulez!"
"Je vous prie d'agréer, monsieur, l'expérience de mes sentiments..."
mardi 1 juin 2010
Voyage culturel en Belgique
Puis ceux qui étaient déjà fatigués pouvaient rester dans le parc de l’Atomium, mais ceux qui avaient envie de visiter le Mini-Europe y sont allés et y ont passé leur temps libre.
Lundi, on s’est levés très tôt, puisqu’on est partis ce jour-là à Lille. Après une présentation concernant les universités du Nord-Pas-de-Calais, on a déjeuné à la cantine et on a visité la ville. Le plus remarquable était la station de métro Lille Europe avec toutes ses fresques.
Mardi, on a visité le musée Magritte qui était un peintre surréaliste belge. L’après-midi on a traversé un parc national à La Panne puis on s’est promenés au bord de la mer. Les plus courageux s’y sont baignés!
Jeudi, quelques élèves sont allés à la Galerie Royale avec Julien pour pouvoir acheter du chocolat unique, bien décoré, belge. Ensuite, on est partis pour le Luxembourg où on a passé l’après-midi. La classe est repartie en Hongrie le soir avec des souvenirs impérissables.
Par Donev Zsaklin XII.C
lundi 24 mai 2010
Voyage de classe à Saumur
Nous avons passé une semaine à Saumur qui est une jolie ville au bord de la Loire où se trouve l’Institition Saint Louis avec qui notre lycée fait des échanges régulièrement. Nous sommes arrivés à Saumur en passant par Paris et Versailles. Malheureusement on n’a pas réussi à visiter le château de Versailles parce que les employés du musée ont fait la grève, mais le spectacle du jardin splendide qui entoure le château nous a consolés un peu. A Paris nous avons eu l’occasion de visiter le musée du quai Branly où on a pu découvrir l’art et la civilisation d’Afrique, d’Océanie, d’Asie et d’Amérique. A Saumur nous étions logés chez des familles françaises pendant sept jours; c’était un dur exercice de langue! Nous avions le temps de connaître un peu la ville de Saumur et plusieurs monuments de la région comme le château d’Angers, la Cave aux Moines, l’Abbaye de Fontevraud et enfin le Zoo de Doué pour nous détendre un peu. Et comme notre lycée et le Lycée Saint-Louis participent aussi au projet Comenius nous nous sommes occupés des années 60 (la vie dans chaque pays avant la chute du Rideau de fer), nous leur avons présenté quelques objets de l’époque communiste, le Musée de la Terreur et l’Histoire de la Hongrie. Notre classe a même participé à une réception à la mairie de Saumur où on a remercié cette formidable possibilité de pouvoir être là. En plus, le lendemain il y avait un article sur notre séjour dans le journal local: Le Courrier de l'Ouest:
Dans l’ensemble on s’est très bien sentis, on a pu voir beaucoup de choses intéressantes et heureusement nos familles d’accueil étaient très gentilles.
jeudi 20 mai 2010
Notre premier voyage de classe en Provence
Par Szoboszlai Szintia IX. C
vendredi 23 avril 2010
Semaine multinationale Comenius
Les élèves participant au projet et venant de France, d'Ecosse, de Slovénie et d'Allemange ont été hébergés chez les familles hongroises. Grâce á l’hospitalité généreuse des élèves du lycée Vetési et á la bonne organisation de l'équipe pédagogique, les étrangers ont pu passer une semaine riche en programmes et en expériences humaines et culturelles dans notre région.
Le projet intitulé” Rideau de fer d'ici et de là” a pour but général de faire découvrir aux jeunes européens le clivage qui a séparé l'Europe en 2 blocs avant la chute du mur de Berlin. C'est un projet qui va durer 2 ans et qui se concrétisera par la réalisation d'un grand journal sur internet qui présentera les travaux des élèves des 5 pays. Cette rencontre chez nous, en Hongrie, visait á présenter les régimes communistes du bloc soviétique. Notre pays représentait un lieu idéal pour la réalisation de cette première rencontre du projet, parce que les jeunes avaient la possibilité de visiter le musée de laTerreur á Budapest et le parc des statuts á Érd.
Grâce aux exposés interpretés par toutes les nations les élèves ont pu analyser cette époque socialiste sous différents points de vue et enfin ils ont réussi à mieux comprendre nos différences.
En dépit du temps pluvieux? tous les participants ont visité la capitale, la péninsule de Tihany et ils ont fait une promenade en bateau sur le lac Balaton.
La semaine du projet s’est terminée avec un dîner traditionnel hongrois composé de goulache et de pogatchas. Après le repas, l’ambiance était tellement bonne que le proviseur hongrois a aussi dansé avec avec les élèves sur la musique traditionnelle écossaise!
Par Ràsky Szimonetta, XIII.c
dimanche 18 avril 2010
Les élèves d’Aix-les-Bains en Hongrie du 27 mars au 1er avril
Samedi matin à 6 heures, Monsieur Kiss a réveillé les élèves hongrois, mais les Français étaient en retard. Après leur arrivée, les élèves ont passé le week-end chez les familles. Ils ont eu l’occasion de goûter des plats hongrois. Les programmes étaient très différents.
Mardi à 9 heures 4 filles hongroises ont présenté le lycée Vetési Albert aux Français. Le programme a commencé avec la visite de la cristallerie d’Ajka qui n’est pas une ville très touristique. Après cette ville le lac Balaton était le deuxième programme de mardi. Sur la péninsule de Tihany les Français ont visité l’abbaye et ils ont pu essayer l’écho de Tihany qui est très célèbre en Hongrie. À Balatonfüred ils ont marché sur l’allée Tagore.
Mercredi les élèves sont allés à Budapest de nouveau. Ils ont reçu du temps libre sur la rue Váci qui est la rue commerçante la plus célèbre de notre capitale. La halle de Budapest est un bâtiment très spectaculaire. La rue d’Andrássy fait partie du patrimoine mondial. Au bout de cette rue ils ont vu la Place des Héros. Les Français ont formé deux groupes pour visiter facilement la Maison de la Terreur. Après les programmes à Budapest ils sont arrivés à Veszprém et les élèves hongrois ont fait une soirée d’adieu où les garçons ont joué de la musique. Puis on a continué la siorée dans le centre-ville.
Jeudi on a présenté les exposés sur la Hongrie. On a mangé à la cantine, ensuite le programme était la visite de la ville de Veszprém. À 5 heures de l’après–midi les Français sont partis. En espérant qu’ils ont passé une agréable semaine chez nous, en Hongrie, nous attendons de leurs nouvelles. Par Ivett Farkas XI.C
dimanche 11 avril 2010
Nos enfants nous accuseront
Vous pouvez regarder la bande-annonce sur le site: http://www.youtube.com/watch?v=nXu3w2PqAZw
Comme c'est un film soustitré je propose de le regarder aux élèves de la section bilingue franco-hongroise du lycée et même aux profs de français.
Par Papp Antonia, X.c
lundi 5 avril 2010
LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS AVEC MICHAEL PALIN (partie 1)
1er jour : 25 séptembre 1988
3e jour : 27 séptembre
Le paquebot appelé « Espresso Egitto » qui fait le trajet de Venise à Alexandrie - en touchant la ville d’Athènes - tous les 10 jours est presque vide. La route du navire conduit à travers le canal korinthien qui a une longueur de 4 miles (6,4 kilomètres). Ce canal a été ouvert en 1893, donc exactement 20 ans ont séparé Jules Verne de la conduite de Phileas Fogg à Athènes. Alors il lui a fait prendre un navire qui circulait entre Brindisi (sud de l’Italie) et Bombay. Mais comme il existe le canal korinthien Michael Palin a l’occasion de visiter Athènes en quelques heures et il peut regarder le plus stupéfiante unité militaire du monde, les evzons. Ils portent un uniform spécial, une jupe plissée, la fustamelle qui a 400 plissages pour symboliser la domination ottomane qui durait 400 ans. A Athènes l’Espresso Egitto se remplit, ainsi le personnel de cuisine doit préparer les plats pour 300 passagers. Pour aider un peu Michael devient cuisinier pour quelques heures.
7e jour : 1er octobre
A Alexandrie le voyage confortable à travers l’Europe prend fin. A partir de ce jour le voyage continue dans un milieu très différent et Michael Palin peut connaître différentes cultures. Phileas Fogg a atteint le golfe de Suez en traversant le canal de Suez, mais en 1988 il n’y a plus de bateau de passagers qui traverse le canal de Suez. Ainsi Palin doit aller au Caire et puis à Suez où il peut prendre un navire qui l’emmène à Jeddah. Au port d’Alexandrie Michael prend une voiture attelée pour aller à la gare, mais à cause des problèmes de langue il est un peu compliqué d’acheter des billets pour le Caire. Le trajet du train conduit vers la capitale d’Egypte au long du Nil. Dans le train Michael discute avec un hommme et lui demande ce qu’il pourrait faire au Caire. La réponse : L’après-midi il y aura un match de foot, notre équipe nationale va jouer. Allez le voir ! Alors Michael va le regarder et après il loue une chambre à l’hotel Windsor (qui est situé dans la vieille ville du Caire) et le soir, au bar Michael rencontre un opérateur qui l’invite à un tournage.
Michael appelle la compagnie de navigation maritime égyptienne et apprend qu’il peut partir de Suez pour Jeddah avec le navire « Algeria » le 9e jour. Ainsi il a un jour pour parcourir le Caire. D’abord il va dans un café et commande un thé, mais il reçoit aussi un narguilé. Après, selon le petit papier qu’il a reçu au bar, il doit aller à l’adresse donnée. Au tournage il joue l’homme dans l’ascenseur puis il discute avec une vedette égyptienne, Norel Sharif. Michael lui demande quels sont les thèmes les plus fréquants des films égyptiens. Norel répond qu'il s'agit de problèmes sociaux, l’amour et il ajoute que les gens aiment les comédies et les films d’action. L’après-midi Michael visite les pyramides et fait du chameau, puis il prend un taxi car il n’y a pas de liaison ferroviaire entre le Caire et Suez.
9e jour : 3 octobre
Michael attend au port de Suez pour apprendre quelque chose du départ : on a annulé le départ de navire « Algeria » à cause du moteur défectueux. Le prochain navire est « Al Qamar El Saud » qui part pour Jeddah le 11e jour mais n’atteint pas la correspondance. Phileas Fogg avait besoin de 6 jours et demie pour atteindre Suez, donc Michael est a un retard de 3 jours. Comme le paquebot part le surlendemain Palin a presque deux jours pour visiter la ville.
De nouveau au port. Michael et son Passepartout ont reçu des places pour le navire « Al Qamar El Saud » qui part pour Jeddah vers midi. Il n’y a pas de passagers européens sur le paquebot en dehors d’eux. Ce navire transporte surtout des pélerins à la Mecque et des ouvriers étrangers, ce jour-là les passagers sont des ouvriers. Pour apprendre si Michael peut prendre le paquebot « Ville du Havre » il appelle la compagnie de navigation maritime de Jeddah. La réponse : Je regrette Michael, le navire « Ville du Havre » est arrivé le matin et demain matin il va partir pour Mascat. Avec ce paquebot Palin aurait pu aller à Mascat d’où il y a une connexion de dau (barcasse) pour l’Inde. Il y a des daux en partant de Dubai, mais Dubai se trouve à l’autre côté du détroit de Hormuz.
A Jeddah les passagers doivent se faire vacciner contre la méningite. Suivant le plan Michael devrait prendre un paquebot italien qui va à Dubai, mais comme ça il perdait au minimum 4 jours. En plus selon un télégramme il est impossible d’acquérir un dau à Mascat, donc il est indispensable que Michael aille à Dubai.
A l’aube Michael reçoit une lettre du ministère de l’intérieur de l’Arabie saoudite dans laquelle on lui permet de traverser l’Arabie saoudite en voiture jusqu’à Dubai. Mais c’est valable seulement pour Michael , son Passepartout n’a pas reçu de permission pour filmer, donc il doit prendre l’avion. Le paysage que Palin traverse est mort, il ne voit que quelques chameaux, en plus dans le désert il fait environ 60°C. A Riyadh il loue une voiture pour aller à la frontière de Quatar, là il prend un taxi et enfin il arrive à Dubai le 10 octobre très tôt le matin. Au total il a voyagé 1347,5 miles (2168,5 kilomètres) en un seul weekend.
A Dubai Palin retrouve son Passepartout et ils commencent à chercher un dau qui les emmène à Bombay. Le commerce prospère dans cette période de l’année, donc des daux partent dans toutes les directions de Somaile à Zanzibar. Michael trouve un dau qui va à Bombay. Il se met d’accord avec le capitaine qu’il emmène Palin et son Passepartout à Bombay. Ils vont partir le 18e jour et ils arrieveront en Inde au bout de 6 jours.
17e jour : 11 octobre
Le matin il fait environ 50°C dans le plus grand port de barcasse du monde. Comme Michael et son Passepartout vont passer 6 jours sur mer ils doivent faire des courses, mais ce qu’il pourraient acheter quand il n’y a pas de frigo sur le bateau ? Alors ils achètent un sac de riz, des conserves de thon et tout de quoi un passager européen pourrait avoir besoin.
18e jour : 12 octobre
A cause du manque de plomberie les toilettes sont un trou dont le visite est assez dangereux pendant la nuit et il est possible de faire une douche d’un chadron. Les technologies de navigation sont traditionnelles, les satellites ne remplacent pas encore le sextant et le cahier de notes. La quantité de l’aliment est stricte mais ils le partagent tout entre eux. Les plats sont tellement délicieux que les conserves restent fermés. La vitesse de l’ascension est angoissé, ils font 200 miles (321,8 km) en 24 heures.
24e jour : 18 octobre
Pendant la nuit, il arrive le relâchement du ventre à Palin. En plus ce jour-là ils atteignent les bords peu profonds de l’Inde donc ils peuvent faire la pêche. Dans quelques heures le bâteau se remplit avec des poissons (surtout avec du gedri). Un membre de l’équipage, Kasib va faire un tour sur Michael pour le masser. Le dau n’est pas un lieu convenable pour le maladie : il n’y a pas de confort, il n’y a pas d’ombre et on peut pas être seul. En plus le capitaine annonce qu’ils ne peuvent pas entrer dans le port parce que le bureau de la douane est déjà fermé. Comme ça Michael doit passer encore une nuit sur le dau.
25e jour : 19 octobre
On hisse le drapeau indien et l’atmosphère devient tendu sur le dau. L’équipage fait descendre le bâteau de sauvetage et Michael Palin prend congé du capitaine Hassan et de son équipage. Après les adieux Michael dit : « Je me sens exécrablement et on a presque voyagé 8 jours au lieu de 6, malgré tout ça je suis triste que je devais quitter le dau. Passepartout et moi, nous avons confié à eux et ils l’ont rendu pareille avec une grande générosité. Je sais que pendant le voyage je ne trouverai pas des amis comme les matelots de « Al Shama ». Maintenant je veux pas accepter que je ne les verrai plus. »
Dans la prochaine partie : Michael Palin prend un train pour traverser l’Inde et atteindre Madras. Là, un peu difficilement il trouve un navire qui l’emmène à Singapore, mais le paquebot rate presque la correspondance qui l’emmènerait à Hong Kong. Là, Palin rencontre un ami qui l’accompagne pendant quelques jours et ils mangent même du serpant dans un restaurant de haut niveau.