Au début de cette année scolaire Julien, l’un de nos lecteurs nous a présenté un nouveau type de concours en franςais. Cela consiste à lire 5 nouvelles. Et celui qui gagne aura la possibilité de partir en France. Pas mal, mais est-ce aussi simple?
Au début ce n’était pas vraiment compliqué. Selon les consignes moi et encore 4 fanatiques de la littérature franςaise, nous avons lu les 5 oeuvres. J’ai beaucoup aimé cette partie du travail. Ensuite, on s’est réunis avec Julien et tout le monde a résumé les 5 histoires selon les goûts. Bien sûr, nous n’étions pas tout à fait d’accord; en outre, l’une des nouvelles que nous avions bien aimée a laissé plein de questions.
Entre temps, Julien a aussi demandé de choisir le rapporteur du groupe qui devra donner un discours de 5 minutes á l’Institut Franςais. Pendant ces 5 minutes, il faudra convainre le jury en justifiant sa préférence pour une nouvelle. Oh la la, c’est loin d’être une plaisanterie! Donc cette personne sera le rapporteur qui devra assumer la responsabilité de notre participation au concours. De mon point de vue, ce n’était pas évident du tout, mais les autres étaient assez déterminés pour dire que le rapporteur devait être moi. Quelle surprise!
À ce moment–là beaucoup de pensées se sont précipitées dans ma tête. L’inconvénient de cette affaire, c’est qu’il faut beaucoup analyser , observer et argumenter et que le succès du travail dépend majoritairement de moi. L’avantage c’est qu’on peut beaucoup progresser pendant le travail et le voyage m’a donné plein d’ambitions aussi. Mais bon, j’ai répondu oui…et je me suis lancée dans le travail…
Finalement nous avons décidé de travailler sur la nouvelle Cinq francs pièces de Fred Vargas qui est une histoire policière. Comme c’est le plus long texte parmi les 5, j’espère pouvoir chercher assez d’arguments pour persuader le jury.
En fait, la nouvelle parle d’un clochard qui est, par hasard, le seul témoin d’un crime obscur. Le débat est lancé: comment peut-on convaincre ce Parisien misérable d’aider l’État? L’un des outils dont je me servirai comme appui c’est la lecture du livre D’où je suis, je vois la lune de Maud Lethielleux. Comme ces écrivains sont toutes les 2 femmes, c’est intéressant de voir leurs visions un peu différentes concernant le monde des clochards.
Alors, je n’en suis encore qu’au début du travail. Le travail avance assez lentement, mais…qui sait ce que l’avenir nous réserve…?
Écrit par Berta Őszike Sipos, XII.C
Au début ce n’était pas vraiment compliqué. Selon les consignes moi et encore 4 fanatiques de la littérature franςaise, nous avons lu les 5 oeuvres. J’ai beaucoup aimé cette partie du travail. Ensuite, on s’est réunis avec Julien et tout le monde a résumé les 5 histoires selon les goûts. Bien sûr, nous n’étions pas tout à fait d’accord; en outre, l’une des nouvelles que nous avions bien aimée a laissé plein de questions.
Entre temps, Julien a aussi demandé de choisir le rapporteur du groupe qui devra donner un discours de 5 minutes á l’Institut Franςais. Pendant ces 5 minutes, il faudra convainre le jury en justifiant sa préférence pour une nouvelle. Oh la la, c’est loin d’être une plaisanterie! Donc cette personne sera le rapporteur qui devra assumer la responsabilité de notre participation au concours. De mon point de vue, ce n’était pas évident du tout, mais les autres étaient assez déterminés pour dire que le rapporteur devait être moi. Quelle surprise!
À ce moment–là beaucoup de pensées se sont précipitées dans ma tête. L’inconvénient de cette affaire, c’est qu’il faut beaucoup analyser , observer et argumenter et que le succès du travail dépend majoritairement de moi. L’avantage c’est qu’on peut beaucoup progresser pendant le travail et le voyage m’a donné plein d’ambitions aussi. Mais bon, j’ai répondu oui…et je me suis lancée dans le travail…
Finalement nous avons décidé de travailler sur la nouvelle Cinq francs pièces de Fred Vargas qui est une histoire policière. Comme c’est le plus long texte parmi les 5, j’espère pouvoir chercher assez d’arguments pour persuader le jury.
En fait, la nouvelle parle d’un clochard qui est, par hasard, le seul témoin d’un crime obscur. Le débat est lancé: comment peut-on convaincre ce Parisien misérable d’aider l’État? L’un des outils dont je me servirai comme appui c’est la lecture du livre D’où je suis, je vois la lune de Maud Lethielleux. Comme ces écrivains sont toutes les 2 femmes, c’est intéressant de voir leurs visions un peu différentes concernant le monde des clochards.
Alors, je n’en suis encore qu’au début du travail. Le travail avance assez lentement, mais…qui sait ce que l’avenir nous réserve…?
Écrit par Berta Őszike Sipos, XII.C
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